La reconstruction du roman de Tristan et Iseut par Joseph Bédier a cette particularité de bien faire ressortir les aléas de cet amour maladif dont les amants sont victimes depuis l'absorption du célèbre philtre.
Ce philtre qui (on pourrait en parler) est à mon sens une stratégie scénographique pour introduire l'irrémédiable passion qui, bien après ses premiers effets et même avant son absorption, s'empare des amants et les dévoile chacun comme corps désirant :
Ce philtre qui (on pourrait en parler) est à mon sens une stratégie scénographique pour introduire l'irrémédiable passion qui, bien après ses premiers effets et même avant son absorption, s'empare des amants et les dévoile chacun comme corps désirant :